Compétitions de surf au Salvador

Journal de voyage

Avant mon blogue, j’écrivais des journaux de voyages, donc j’ai transféré certains ici, ne voulant pas les perdre pour toujours, car le journal de voyage en ligne fermait. Je ne voulais pas perdre ces souvenirs, plusieurs de mes premiers voyages sont encore sur papier, dans une boite remplit de carnets.

J’ai effectivement peur des vagues, c’est la marée basse et elles sont déjà plus grosses que moi. Je prend une marche pour aller m’inscrire au souper du Eldorado. Je croise Oli qui me dit:  » Si tu ne vas surfer maintenant, tu n’iras jamais, d’ici la fin de ton voyage, ça va juste aller en grandissant... » Merde de merde ! Je me dépêche de retourner à mon hôtel pour me changer et prendre une planche.

Une fois arrivée, Alex est près de ma chambre, il se présente, pour la première fois, c’est son hôtel et nous parlons surf. C’est un local donc il sait de quoi il parle et il connait la place. Il me dit, prend ça relaxe, facile à dire mais difficile à faire dans mon cas et dimanche si tu veux on iras surfer ensemble. Je lui raconte que je trouve les vagues trop grosses pour moi et que sans surf coach, je n’y arriverais pas. Il me dit:  » Je ne sais pas si j’ai l’étoffe d’un super héro mais je peux bien essayer! Tu peux en attendant aller voir les compétitions pour passer le temps. »

Donc, je vais passer quelques heures assise sur un mur de pierre, entouré de locaux à prendre en photo les « heat » des gars et des filles avec ma caméra Canon. Ça m’a fait passer ma journée plus vite et je n’ai presque rien fait… Bravo, je prend le temps… de ne rien faire…

C’est le millieu de l’après-midi, je suis un peu rouge même si je suis restée à l’ombre. J’économise encore mon roman. Je suis presque toujours couché dans un hamac, je download mes photos, j’écris mon blog tout en buvant une bière froide. J’ai hâte d’aller manger au El Dorado ce soir, j’ai oublié de demander c’était à quelle heure le service… donc une fois prête, j’irais traîner au bar ou bien sur une chaise transat en regardant le couchez de soleil. J’ai vue 2 touristes partir de mon hostel ce matin et ils sont maintenant au Eldorado, je suis un peu jalouse… Mais j’aime bien ici, Alex est super cool, genre « dude surfer boy » et tout les employés sont gentils avec moi. J’ai même gardé un bébé, celui de la femme de ménage et du serveur ce matin en déjeunant et faisant du net.

Le souper au Eldorado était excellent, c’est un peu cher pour ici, si on compare… mais ici, il n’y a rien à dépenser. Les tiendas ne vendent que de l’eau, de la liqueur, des chips etc… Donc tout aussi bien allé passer du bon temps même si je paye un peu plus cher. Là-bas les gens me parlent, à mon hôtel il y a beaucoup de locaux en long weekend, ils sont sympathiques mais ils sont pratiquement tous avec leurs copines, ils me sourient tous mais personne ne viendra me parler, sauf ceux qui travaille ici.

Donc au Eldorado, je parle avec les touristes, les employés qui sont tous locaux ou avec les quelques québéçois, tous des gars, je suis la seule surfergirl du Québec ici même si je ne surf pas… C’est agréable de parler avec des gars de Montréal que d’autre chose que le hockey. On parle de surf, de voyages et de vagues. Je leur ai dit que j’irais finalement essayer la vague de rivière à Montréal, ils ont tous ri : « Si tu pensais réussir un bon sevrage de manque de surf, tu te trompes… prend ton char et roule jusqu’à Hampton avec une planche de surf et un wetsuit…. » Bon, je vais essayer pareil vue que maintenant que je connais le proprio de KSF… au pire, je n’aime pas ça…

J’ai pris quelques verres au bar après le souper et je suis partie durant la petite averse. Il y a une rivière à traverser sur la plage et il fait noir même si j’ai ma mini lampe de poche avec moi, je n’y vois presque rien. J’ai aussi appris une bonne chose, il y a un guichet automatique à El Tunco, donc plus besoin de me rendre à La Libertad qui m’intéressait plus ou moins, je changerais peut-être d’avis si je ne surf pas, j’irais visiter et à la lumière du jour, je le sais tout le monde me le répète !! Je serais prudente !! Je ne sais pas pourquoi tout l’monde a aussi peur pour moi !! Mais pour le moment, je pense aller à El Tunco en bus, c’est seulement 0,50$ et visiter ce petit village de surfer, trouver le fameux gros hôtel qui a le guichet à l’intérieur. J’attend à mardi car le guichet sera probablement vide avec un long weekend férié. De toute façon, je ne suis pas mal prise, j’ai rien payer encore, tout est écrit sur une facture à mon hôtel et je dois encore des $$$ au Eldorado, ici on s’en fait pas trop.

Je ne sais pas finalement si je vais pouvoir surfer ici, l’un des québéçois plus expérimenté que moi disait avoir de la difficulté à passer le break, il fait le turtle roll mais c’est difficile. Donc, je m’imagine en panique, ma planche de surf au bout de mon leash et en essayant de traverser toutes ces grosses vagues en pleurant. Je ne sais pas si Alex sera être mon super héro dimanche dans les vagues ? La prochaine fois que je choisi une destination, je vais vérifier les conditions et niveaux de surf. Je savais qu’ici ça pouvait être très gros mais trouver des infos sur le Salvador ce n’est vraiment pas facile. Je n’ai pas non plus d’option d’une autre plage… c’est pas aussi simple qu’au Nica ou au Costa Rica. De plus, je commence à avoir des malaises au niveau de l’estomac et la digestion ! Je ne sais pas si c’est la salade mais bon, rien d’autre entre dans ma bouche à cette chaleur… Au pire, je vais revenir bronzée et plus mince !!

Samedi sera encore une journée de repos, dans le hamac et avec mon bon roman, de promenade sur la plage et je veux aussi chercher cette Sabrina qui fait des massages. J’ai fait le tour du village de El Zonte en 7 minutes et j’ai pris beaucoup de photos. Donc plus grand-chose à découvrir ici , sauf essayer de relaxer. J’essais d’envoyer ce message demain à mon réveil, si l’internet fonctionne. Je me couche tôt, l’averse c’est transformé en orage, je vais écouter un film dans ma chambre sur mon ordi et boire une cerveza.

Hasta la pronto !

DONNÉES CELLULAIRES À L’ÉTRANGER

J’ai expérimenté plusieurs options pour mes données cellulaires à l’étranger mais depuis 2021 je ne jure que par les eSIM de la compagnie Airalo. Une solution simple, rechargeable et avec plusieurs forfaits. Pas besoin de carte SIM physiquement, le tout est géré facilement avec une application, par contre ton cellulaire doit être compatible. C’est pour les données cellulaires seulement. Je fais mes appels ou textos sur Messenger, FaceTime ou WhatsApp. Il y a des cartes par pays, par région et mondiale, il n’y a pas tous les pays, Cuba ne s’y trouve pas par exemple. Plus la carte couvre des pays, plus elle coutera chère mais pour faire plusieurs destinations comme un roadtrip en Europe, ça peut avoir ces avantages de payer plus cher et rester connecté. Moi, je voyage qu’avec ça ! Je suis partie en Égypte, New York, Guatemala et Belize avec des eSIM Airalo.

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