Vaincre sa peur de l’océan

Chaque personne à des craintes, des peurs et des phobies, raisonnables et parfois irrationnelles. Moi, je n’ai pas exactement peur de l’océan ou de l’eau mais de la vie sous-marine. Je suis une bonne nageuse, j’ai appris très jeune à nager et j’ai toujours aimé passer beaucoup de temps dans l’eau. Je suis une vraie sirène! Je surf aussi depuis quelques années et je suis tout de même téméraire comme personne. Mais, depuis toute petite, j’ai peur des poissons et de tout ce qui est vivant et sous l’eau. Probablement traumatisée par le film Jaws… Si j’ai le malheur d’y penser… la panique s’empare de moi ! Ça ne m’a jamais empêché de nager ou même de surfer. Mais je suis incapable de faire de la plongée en apnée avec plaisir, seulement à la vue d’oursin sur un récif, d’un tout petit poisson, mon rythme cardiaque s’accélère et la peur prend le contrôle sur mes pensées…

J’ai aussi eu quelques moments traumatisants dans certaines vagues en surfant un peu partout dans le monde, à Bali, à Hawaii mais surtout au Pérou. Des cicatrices mentales qui m’ont marqué et qui m’occasionnent souvent des moments de peur irrationnelle quand je n’ai pas le contrôle dans l’eau. Je dois avouer que ça m’handicape maintenant lorsque je surf mais aussi lorsque je fais certaines activités nautiques.

Lorsque j’ai décidé de partir en voyage en Polynésie Française, la réalisation de l’un de mes plus grands rêves dans ma vie… Je savais qu’une fois sur place, j’allais devoir affronter mes peurs, et ce à tous les jours. Requins, raies, poissons, coraux et autres créatures vivant sous l’eau que je devrais confronter quotidiennement en allant à la plage. Je voulais revenir de la Polynésie et être fière d’avoir affronté mes peurs. J’espérais secrètement être changé à tout jamais à mon retour…

Pour en savoir plus sur mon voyage d’un mois en Polynésie Française, cliquez sur ce lien.

Ile de Moorea

Ma plage privée

Je séjourne dans un joli bungalow rose sur l’île de Moorea qui possède une petite plage privée, faisant face à l’ile de Tahiti. Ma première crainte surgira lors de mes baignades sur cette petite plage. Un peu sur mes gardes, car je ne vois pas de raies, ni de requins à pointe noire qui sont habituellement très présents dans les lagons en Polynésie. Et tout à coup, je vois qu’il y a des centaines de concombres de mer. Je sais que ça peut paraitre irrationnel mais juste l’idée de leur toucher ou bien de marcher dessus me rend complètement folle. Les concombres de mer sont des animaux marins à la peau coriace, au corps allongé ressemblant étrangement, comme le nom le dit, à un gros concombre. Les concombres de mer se trouvent un peu partout sur les fonds marins du monde entier. Ça ne mord pas, ça ne bouge presque pas et surtout pas de danger qu’ils vous attaquent… Ce n’est pas plus méchant qu’une étoile de mer… mais c’est moins cute… et surtout j’en ai une peur horrible! Je dois avouer que je n’irais pas souvent à l’eau dans les premiers jours, en fait, je ne me baignerai pratiquement jamais sur cette plage. Il faut aussi comprendre que l’eau dans les lagons polynésiens n’est pas toujours profonde. Donc pour pouvoir nager, il fait parfois marcher très très loin du rivage. Ne connaissant pas les dangers des requins et des raies vivant dans le lagon et voyageant en solo, je m’abstiendrais d’aller nager, lorsque je suis seule dans l’eau.

Motu Coco Beach

Je profite de mon road trip en voiture sur l’île de Moorea pour réserver une place sur un catamaran pour me rendre sur le célèbre motu Coco Beach. Le bleu, c’est ma couleur préférée et disons que je suis vraiment choyée ici! J’ai nagé avec mes premières raies sauvages, sur Coco Beach et ça c’est très bien passé. Il faut dire qu’il n’y avait pas beaucoup de poissons, ni de raies ou de requins à pointe noire autour du motu privé, probablement car il y a beaucoup de touristes et d’embarcations. J’ai passé une belle après-midi sur Coco Beach et j’ai profité de la plage au maximum.

Lagoonarium de Moorea sur le motu Ahi

Je suis sur un petit bateau pour aller vers le motu Ahi pour passer la journée au Lagoonarium de Moorea et nager avec les requins, les raies, les murènes et les poissons de récif multicolores. Quand tu arrives tôt sur le site, ils t’assignent un bungalow de plage, un fare comme on dit en Tahitien. Moi, je partage le mien avec Denis, un sympathique Français de Bordeaux. Nous avons chacun notre entrée, notre chaise et notre tapis pour y laisser nos choses, se protéger du soleil et relaxer entre les plongées. J’ai nagé avec mes premiers requins à pointe noire, des centaines de poissons de récif et des raies pastenagues. Ils nagent tous très près de nous, même que parfois ils me frôlent et me touchent! C’est génial et je me sens très bien! Je dois vous dire que le tout est fait sous la supervision de guide sur place. Il y a aussi une corde dans l’eau, qui fait le parcours autour du jardin de corail, que l’on peut tenir pour ne pas se faire emporter par le courant qui est tout de même assez présent. Si vous vous demandez pourquoi les raies sont si accessibles, c’est que ce sont des animaux marins très intelligents. Elles sont en liberté et libres de quitter le motu. Mais c’est surtout parce qu’elles sont nourries qu’elles restent autour du Lagoonarium de Moorea. Ce n’est pas la meilleure façon de faire et c’est un peu controversé comme méthode, j’avoue que je ne le savais pas avant d’y aller. Au sinon, mon choix aurait été différent. Les guides connaissent et reconnaissent la majorité des raies et ils établissent tout de même des contacts avec elles. J’ai appris beaucoup sur les raies et aussi les requins. C’est tout de même un bon endroit pour affronter, tout en douceur, mes peurs.

Ile de Raiatea

Je passe quelques jours sur l’île de Raiatea et mon bungalow se trouve directement sur la plage avec une magnifique vue sur île d’Huahine. Ce matin, j’ai surpris la cuisinière qui jetait à l’eau des restants de bouffe et quelques murènes sont sortie de leur cachette près du quai pour sauter sur la nourriture. J’ai horreur des murènes, elles ont des petites dents laides et semblent sortir tout droit d’un film d’horreur! J’ai appris qu’il y en avait beaucoup sur le bord du lagon et du quai et que si je voulais nager, je devais marcher dans le lagon jusqu’à la couleur bleue foncé, au loin, a plus ou moins 500 – 700 mètres dans le lagon. Sur le rivage l’eau m’arrive aux genoux maximum. Je dois avouer que je me suis promené qu’une seule fois avec des souliers aquatiques et que j’ai eu terriblement peur de voir surgir une murène, donc je ne me suis jamais baigné sur Raiatea.

ile de Taha’a

Excursion avec Flo et Teva

Aujourd’hui, je vais découvrir île de Taha’a, visiter une ferme perlière, une ferme de vanille, faire du snorkeling dans un jardin de corail et manger sur un motu avec Flo et Teva. C’est très venteux aujourd’hui donc je suis très heureuse de naviguer dans le lagon à l’abri des vagues, grâce aux barrières de corail, car en haute mer, ça doit brasser. Et moi, j’ai le mal de mer !

Le jardin de corail est situé entre deux motu avec une magnifique vue sur l’île de Bora Bora. Ce jardin est rempli de poissons de récifs multicolores et de raies. Le but, c’est de marcher jusqu’au bout d’un motu, pour se mettre dans l’eau, là où le canal rétréci et où se forme la vague. On attend la bonne vague et on se laisse dériver sur plus de 1km au-dessus des coraux en faisant bien attention de ne pas les toucher car c’est très tranchant. Moi, rendu à mi-parcours, je commence à paniquer, je ne sais pas pourquoi et je respire de plus en plus vite dans mon masque de plongée. Teva notre guide polynésien vient me rejoindre et comprend que je ne vais pas bien. Il me dit de me tenir à lui par les épaules, d’enlever mon masque, de reprendre mon souffle et qu’il me lâchera pas. J’évite de peu la crise d’hyperventilation et de panique. Une fois calmée, je lui tiens la main pour repartir et après je finis par poursuivre mon chemin seule. Plusieurs personnes me demandent pourquoi je ne veux pas apprendre et faire de la plongée sous-marine, c’est un peu à cause de ces moments de panique. Autant que j’aime l’eau, que je nage depuis ma petite enfance, que je surf et que j’ai beaucoup de connaissances sur les courants, les dangers et les conséquences… autant que parfois, je panique totalement dans l’eau. Avoir peur c’est ok, ça garde en vie… paniquer c’est dangereux, c’est comme ça que les gens se noient. J’apprends tranquillement pas vite à combattre cette peur que je ne comprends pas trop, car je la confronte tout le temps. Probablement que je suis morte noyé dans une vie antérieure ou je ne sais pas trop ? Finalement, j’ai repris mes esprits, je l’ai refait et c’était vraiment beau ! Pas besoin de vous dire que j’étais épuisée en fin de journée mais aussi fière de moi.

ile de Bora Bora

Excursion avec les SharkBoy

Je lis sur les activités offertes sur Bora Bora et je comprend par les commentaires, que dans certaines activités avec les animaux marins, qu’ils sont en quelque sorte en captativité, dans une cage, dans le lagon. Ce que je ne cautionne vraiment pas. Annette, l’hôte du Bungalove Bora Bora me dit que nous allons regarder tout ça ensemble et qu’elle a une bonne idée de l’excursion idéale pour moi.

Donc, je passe une demie-journée avec les SharkBoy et c’est vraiment génial. Nous sommes sorti du lagon de Bora Bora pour aller en haute mer, il y avait des dauphins, des requins à pointes noires et aussi avec de gros requins citron! J’ai un peu capoté en me jetant à l’eau pour nager près d’eux. Je l’ai fait, deux fois car j’ai eu besoin d’une petite pause pour reprendre mes esprits à un certain moment, des requins citron c’est quand même énorme et je ne savais jamais s’ils étaient proches de moi ou bien s’ils paraissaient proches car ils étaient énormes sous moi…

Nous avons aussi fait 2 autres arrêts dans le lagon turquoise, avec l’eau à la taille pour nager avec les raies pastenagues, dont quelques unes sont venues me donner des bisous sur le nombril, ce que je n’ai pas trop aimé et ça bien fait rire les gars ! Il y avait aussi des requins à pointe noire et ils venaient jusqu’à 1 pied de nous.

Un peu plus loin, les gars ont arrêté le bateau et nous avons sauté dans le lagon un peu plus profond cette fois, pour nager avec de belles, grandes et majestueuses raies manta ! Ça, c’est vraiment impressionnant, j’ai des amis qui font de la plongée et qui rêvent de voir une raie manta. Et moi, je plonge avec un masque, un tuba dans une eau turquoise et je les vois nager royalement sous moi.

C’est vraiment la plus belle journée de plongée de ma vie et je me suis surpassé ! C’est vraiment une journée exceptionnelle ! Je sens déjà une grande différence par rapport à ma peur envers les animaux marins et je crois que tranquillement je me fais à l’idée. Même que je commence à vraiment les aimer. Je sens un changement qui s’opère en moi, c’est vraiment génial.

Nurserie de corail au Bora Bora Pearl Beach Resort & Spa

Je me suis payé un 24 heures dans un hôtel de luxe à Bora Bora. J’ai eu la chance de pouvoir nourrir les poissons de récifs avec de vieux bouts de pains dans la nurserie corallienne qui se trouve à mon hôtel. La nurserie de corail qui se trouve au Bora Bora Pearl Beach Resort & Spa est un projet unique mais surtout ambitieux de sauvegarde du corail, des récifs et des poissons qui y vivent. Tout a commencé en 2001, lorsque des récifs artificiels en béton ont été immergés pour servir de support aux colonies coralliennes. Ces récifs abritent plus de 2000 poissons multicolores. Ce véritable laboratoire sous-marin est facilement accessible car il se trouve entre les bungalows sur pilotis de l’hôtel. Cet endroit est avant tout destiné à sauvegarder les coraux en danger afin de leur permettre de croître dans un environnement protégé. Cette nurserie de corail est un endroit vraiment unique et incontournable à visiter. J’ai adoré m’y promener et je crois que ce projet pourra aider à la sauvegarde de cet écosystème et les habitants qui y vivent. Pour en savoir plus, cliquez sur ce lien.

Atoll de Rangiroa

J’ai réservé une excursion pour faire la découverte de la passe de Tiputa. La passe de Tiputa est avant tout un spot de plongée de renommée mondiale mais celle-ci peut également s’explorer depuis la surface au cours d’une sortie en snorkeling dérivant. On se fait déposer en bateau à l’entrée de la passe puis on se laisse porter par le courant vers l’intérieur du lagon. En m’inscrivant à l’activité au village, je suis devenue très émotive, le gars a compris que quelque chose n’allait pas… Au bord des larmes, je lui dis que je veux vraiment le faire mais que j’ai aussi vraiment peur. Que j’ai aussi tendance à paniquer et à hyperventiler. J’ai paniqué sur la dérivante sur l’ile de Taha’a et l’eau était très peu profonde. Ici sur Rangiroa, il y a 4 dérivantes à faire et l’une d’elles est très longue, presque 2.5km et c’est vraiment très profond, donc plus effrayant pour moi. Il me dit gentiment qu’il y aura quelqu’un juste pour moi qui me tiendrai la main ou restera près de moi… à mon choix… donc j’ai dit oui !

Une passe en Polynésie, c’est l’entrée de l’océan dans les lagons. C’est par là que les bateaux entrent dans le lagon, ainsi que la vie marine. Bora Bora a qu’une seule passe, c’est là que j’ai nagé avec les requins citron. Ici à Rangiroa, il y a 2 passes et l’une d’elle c’est la passe de Tiputa. La passe de Tiputa est souvent considérée comme la Mecque des plongeurs et fait partie du classement des meilleurs sites de plongée au monde. Elle est particulièrement connue pour ses innombrables requins gris et requins-marteaux mais aussi pour ses raies manta et raies léopard. Nous sommes dans la saison des raies manta et requins-marteaux ! Donc, je suis très nerveuse et j’essaie de ne pas être trop anxieuse… On ne vit qu’une seule fois et je ne reviendrai jamais ici… 

Au réveil, l’archipel de Tuamotu était en alerte météo mais l’activité n’est pas annulée. Une fois dans l’océan face à la passe de Tiputa, le ciel est noir et la mer est déchaînée. Il y a des vagues de 4 à 6 pieds à mon avis, peut-être plus grosses. Je saute à l’eau avec mon masque et après 1 minute, je panique, je n’arrive plus à respirer. À chaque vague, le bateau disparaît… Je décide de remonter sur le bateau qui tangue comme si on était sur des montagnes russes. Je prends mon mal en patience et je ne sais pas par quel miracle, je ne vomis pas!

Vers la fin, épuisée par les vagues qui frappe le bateau, frigorifiée par la pluie qui tombe et qui me pince la peau. Je me jette à l’eau pour finir la plongée avec le groupe. Mère Nature est déchaînée, il n’y a aucun requin, aucune raie, juste de centaines de petits poissons… Ce fut comme ça tout au long de l’activité… La mer est trop déchainée, il n’y a rien à voir.

De retour au bungalow, plus d’internet, plus de câble, c’est la grosse tempête et le vent semble vouloir arracher les palmiers. Je vais au bar écouter la radio et au pire de la tempête, les vagues atteignaient plus de 16 pieds dans le lagon! Mon ami surfeur, que j’ai rencontré à mon hôtel, m’avoue qu’il n’aurait jamais fait la déferlante de Tiputa dans ces conditions. Donc je me console en me disant, que j’ai essayé et que je suis toujours vivante! Je ne sais pas si je suis fière de moi et si ça m’aura aidé à vaincre ma peur… Je pense que oui, dans un sens…

Ile de Tahiti

Excursion à la vague Teahupoo

Dernière étape de mon voyage en Polynésie Française et à essayer de vaincre ma peur. Je suis sur l’ile de Tahiti et je vais aller voir la vague de Teahupoo, la vague de surf la plus dangereuse au monde. Je n’y vais pas pour surfer, même si elle n’est pas à son maximum de puissance présentement. Je n’ai pas les habilités pour surfer ce type de vague. Cette vague est immense et légendaire, la vague de Teahupoo en Polynésie Française a été désignée comme site d’accueil de l’épreuve de surf pour les Jeux olympiques de 2024, ça vous donne une idée de la complexité de celle-ci. Situé au sud de l’Ile de Tahiti, Teahupoo fait partie du patrimoine mondial du surf et ce spot propose la meilleure gauche de la planète avec un tube qui peut atteindre des tailles démentielles. Une vague qui peut monter jusqu’à 10 mètres de haut sans problème et pour en ajouter cette vague déferle sur un récif de corail bien tranchant qui compte à peine un mètre de fond. Inutile de vous dire pourquoi, je ne peux pas la surfer même si lors de mon excursion, les vagues étaient d’une dimension plus accessible à mon niveau. J’ai vraiment adoré mon excursion en bateau, j’ai vu des dauphins sauvages qui jouaient dans les vagues mais surtout, j’ai vu cette vague mythique, c’est tout de même un rêve qui se réalise!

DONNÉES CELLULAIRES À L’ÉTRANGER

J’ai expérimenté plusieurs options pour mes données cellulaires à l’étranger mais depuis 2021 je ne jure que par les eSIM de la compagnie Airalo. Une solution simple, rechargeable et avec plusieurs forfaits. Pas besoin de carte SIM physiquement, le tout est géré facilement avec une application, par contre ton cellulaire doit être compatible. C’est pour les données cellulaires seulement. Je fais mes appels ou textos sur Messenger, FaceTime ou WhatsApp. Il y a des cartes par pays, par région et mondiale, il n’y a pas tous les pays, Cuba ne s’y trouve pas par exemple. Plus la carte couvre des pays, plus elle coutera chère mais pour faire plusieurs destinations comme un roadtrip en Europe, ça peut avoir ces avantages de payer plus cher et rester connecté. Moi, je voyage qu’avec ça ! Je suis partie en Égypte, New York, Guatemala et Belize avec des eSIM Airalo.

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Est-ce que j’ai moins peur de l’eau, des vagues et de ses habitants ? Je dirais que oui, ce mois passé à parcourir ces îles magnifiques de la Polynésie Françaises m’ont assurément permis d’apprendre à contrôler mes craintes parfois irrationnelles, de me surpasser dans mes moments de panique et surtout de me faire plus confiance. Je pense que j’aurais toujours cette petite crainte mais maintenant, ça ne m’handicapera plus autant qu’avant. J’ai encore du chemin à faire et j’ai hâte de continuer à travailler là-dessus dans un océan lointain… Aloha !

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2 commentaires sur “Vaincre sa peur de l’océan

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