Je n’ai pas voyagé depuis mon retour d’Italie en 2020 mais j’ai eu envie de partager avec vous quelques articles mais aussi répondre à certaines questions que l’on me pose souvent. Voici donc la première partie de 3 articles de Q&A. J’espère que ça vous plaira et vous fera aussi voyager.
Assurément, ma réponse sera les 2 heures d’attente avant d’entrer aux catacombes de Paris, sous un soleil de plomb. Les catacombes sont composées d’ossements issus de cimetières paroissiaux parisiens et c’est un incontournable à voir à Paris. J’étais en voyage avec ma meilleure amie, donc, l’attente a été moins pénible à deux… même si la chaleur, le soleil nous accablaient de plus en plus. Je suis une personne tout de même assez téméraire mais j’ai un gros problème de claustrophobie. Une fois à l’intérieur, je suis devenue très silencieuse et j’essayais de me convaincre, que tout allait bien, même 20 mètres sous terre et dans un tunnel que je devais traverser de plus de 2 km. Je dois avouer que je n’ai pas peur de la mort, des squelettes et des crânes, donc rendu à cette partie, j’ai oublié mon malaise… mais disons, que je suis sortie plus vite que mon amie et un peu en crise d’hyperventilation. Une chose est certaine… un jour, j’irais visiter l’Égypte mais c’est clair que je ne vais pas entrer dans une pyramide.
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Je suis à Bali, au surf camp Padang Padang et je décide de prendre une journée relaxe, c’est à dire pas de surf. Mes copines de surf et moi, nous louons trois motorbikes pour aller se promener. Le plan de match, voir Bingin Beach, prendre un jus frais au El Kabron, aller au surf shop et manger au Bali Boudha. Et bien, moi ma journée c’est arrêter brusquement après l’El Kabron. J’étais la première, je klaxonnais les chiens et les poulets qui traversaient la route constamment. Dans des petits virages serrés et surtout en me concentrant à conduire du bon côté de la route, soit à l’envers pour moi canadienne. J’ai voulu éviter des poulets qui sortaient de nulle part… Et je suis tombé… En fait, la moto est partie dans le gazon sur l’accotement de la route. Moi, j’ai glissé, de tout mon corps sur la route en asphalte chaude. Tout le long, je me disais merci d’avoir mis un casque, car la fin de ma chute c’est terminé sur la tête. Je me relève, nerveuse, blessée, je saigne et je tremble…
Les filles me disent de m’allonger mais je veux juste reprendre la moto et retourner au surf camp. Je remonte sur ma monture un peu sur l’adrénaline et je pars vers le surf camp. En cours, de route, je croise d’autres Balinais en motorbike et ils me demandent si je vais bien… je leur demande le chemin pour retourner au surf camp. Je suis un peu confuse finalement, moi qui ne me perds jamais… je n’ai plus le sens de l’orientation…
J’arrive au surf camp, j’hurle de douleur et je pleure… Il y a deux Australiennes au surf camp et elles sont aussi étudiantes en médecine, elles arrivent en courant vers moi. Je demande que l’on nettoie une plaie à la fois et pas toutes en même temps mais surtout de me laisser respirer entre chaque fois. Je capote, je leur dis que je vais perdre connaissance, qu’ils doivent arrêter de mettre de l’alcool sur mes blessures. Tout le monde me regarde, je sens que j’étouffe et je vois noir et on me couche sur un matelas en me donnant de l’eau.
On décide alors de m’amener à la nurserie au village. Je pars avec le chauffeur du surf camp, personne ne parle anglais, les infirmières, le chauffeur parlent tous balinais. Une fois à la clinique, je pleure encore. J’ai tellement eu mal au surf camp, que j’appréhende ce qui va venir. Mais ça va bien, elles utilisent de l’iode et elles sont douces. J’ai deux infirmières qui nettoient et enlèvent les roches sous ma peau, coupent mes ongles à moitiés arrachés… et il y en a une qui me parle doucement en balinais, en me tenant la main et épongeant mon front avec une débarbouillette d’eau froide. Je ne comprends pas ce qu’elle me dit mais j’ai moins peur et je ne pleure plus. Elle est douce et souriante. Heureusement un peu plus tard, le docteur vient me voir et me parle en anglais. J’ai l’interdiction de surfer et il me recommande de me reposer, il dit que j’ai une commotion cérébrale et que le casque ma surement sauvé la vie. Ma première visite, avec le nettoyage des plaies, antibiotique, antidouleur et anti-inflammatoire, bandages et consultation inclus, me coûte un gros 6$ USD. J’en garde encore des cicatrices et depuis, je ne me promène plus en moto, scooter ou tout véhicule à 2 roues !
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Le volcan Vésuve ou le mont Vésuve est un volcan italien d’une altitude de 1 281 mètres, bordant la baie de Napoli. Il s’agit du seul volcan d’Europe à être entré en éruption durant les cent dernières années, sa dernière éruption datant de 1944. C’est ce volcan qui est à l’origine de la destruction des villes de Pompéi, Herculanum, Oplontis et Stabies, ensevelies sous une pluie de cendres et de boue qui, ainsi, les a conservées jusqu’à nos jours dans leur état antique. Il est entré en éruption de nombreuses autres fois au cours des derniers millénaires et c’est l’un des volcans les plus dangereux du monde en raison de sa tendance explosive et surtout de la population importante qui vit à ses abords. Oui, j’ai visité un volcan dangereux ! J’ai marché dessus… mais je ne l’ai vraiment pas vue… Voici pourquoi en photos !
Pour en savoir plus sur mon séjour à Naples en Italie, cliquez ici
Waikiki à Hawaii qui se trouve sur l’île d’Oahu, ville voisine d’Honolulu, est mon endroit préféré au monde. C’est aussi l’endroit idéal pour apprendre à faire du surf, boire des bonnes bières hawaïennes avec vue sur la plage au coucher de soleil, voir un spectacle de Hula sur Kuhio Beach, magasiner une chemise hawaïenne, manger un Loco Moco ou bien grimper en haut du Diamond Head. Je vous ne cacherais pas que je suis une fille qui aime vivre en ville, je suis une vraie citadine dans la vie. De plus, la plage de Waikiki est l’endroit où se trouvent mes vagues préférées dans le monde. Pour une amoureuse de surf et une longboard girl comme moi, faire du surf à Waikiki est un incontournable. Ce que j’aime de cette ville, c’est être près de tout, avec les avantages de vivre en ville, de pouvoir me réveiller à 5h am et marcher 2 min avec ma planche de surf pour aller surfer presque toute seule sur les vagues.
Voici un lien pour voir mes articles sur Hawaii & Waikiki, cliquez sur ce lien
J’ai une belle grande collection de verres à shooter de tous les pays et villes que j’ai visités. Ça me permets de garder un beau souvenir et surtout ça ne prend pas de place dans mon sac à dos. J’adore y déposer de la monnaie et des billets de banque du pays visité à l’intérieur.
J’aime aussi acheter des boucles d’oreilles quand le budget le permet avec des pierres précieuses du pays visité, j’ai donc de jolies perles noires achetées en Polynésie Française et des émeraudes de la Colombie.
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Depuis quelques années, j’aime me faire tatouer. Le tatouage qui est pratiqué dans le monde entier aujourd’hui a des origines diverses, mais l’origine étymologique du mot est polynésienne. L’art du tatouage est intrinsèquement lié à la culture polynésienne. Il traduit « ce qu’il y a de plus profond dans l’homme ». Lors de mon voyage en Polynésie, j’ai rencontré un excellent tatoueur polynésien dans la ville de Papeete, ce fut mon premier tattoo de voyage. Nous avons convenu ensemble de la forme de base de mon tattoo, un requin et une raie manta. Comme tout tatouage polynésien, il est très symbolique. J’ai parlé de moi et il a fait le dessin rempli de symboles qui me représentent personnellement. Je me suis aussi fait tatoué à Rome en Italie, lors de mon séjour à Banff et à Londres dans le quartier de Camden.
Voici des liens vers mes articles de toutes ces destinations :
Mon tattoo à Papeete et l’achat de mes perles noires en Polynésie Française
Mon tattoo à Banff en Alberta au Canada
Mon tattoo dans le quartier de Camden à Londres
J’espère que vous avez aimé et que certains de mes liens vers mes articles vous inspireront des destinations lorsque l’avenir sera plus serein et idéal au voyage.
Aloha
J’ai expérimenté plusieurs options pour mes données cellulaires à l’étranger mais depuis 2021 je ne jure que par les eSIM de la compagnie Airalo. Une solution simple, rechargeable et avec plusieurs forfaits. Pas besoin de carte SIM physiquement, le tout est géré facilement avec une application, par contre ton cellulaire doit être compatible. C’est pour les données cellulaires seulement. Je fais mes appels ou textos sur Messenger, FaceTime ou WhatsApp. Il y a des cartes par pays, par région et mondiale, il n’y a pas tous les pays, Cuba ne s’y trouve pas par exemple. Plus la carte couvre des pays, plus elle coutera chère mais pour faire plusieurs destinations comme un roadtrip en Europe, ça peut avoir ces avantages de payer plus cher et rester connecté. Moi, je voyage qu’avec ça ! Je suis partie en Égypte, New York, Guatemala et Belize avec des eSIM Airalo.
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Quel aventure cet accident 😨 sinon super intéressante ces questions /réponses sur tes expériences de voyages 😊😊
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